« Depuis, le dĂ©but du confinement Ă ce jour, l’association #ADDRA, a accompagnĂ© plus de 250 personnes en dĂ©tresse psychologique due Ă la solitude, l’isolement, l’extrĂŞme prĂ©caritĂ© financière et Ă l’incertitude de l’ouverture JUSTE des frontières. #Droit_d_entrer_dans_mon_propre_pays
Ces circonstances ont plongé une grande partie des étudiants, des chibanis et des citoyens résidants algériens dans une détresse psychologique que les autorités algériennes peinent encore à mesurer ».
« 17 longs mois d’attente, nous assistons impuissants à cette situation alarmante et importante des symptômes dépressifs chez notre communauté ». Pourtant, Il y a des solutions et des mesures efficaces qui permettent de bien contrôler le flux des voyageurs comme, les tests PCR à l’embarquement et antigéniques à l’arrivée, avec le traçage et la quarantaine si nécessaire, à la charge du voyageur.
Tout cela existe partout dans le monde et dans des pays beaucoup plus touchĂ©s par l’épidĂ©mie que nous, comme c’est le cas de la France, mais les autoritĂ©s des ces pays n’ont, Ă aucun moment, complètement fermĂ© leurs frontières. Pourquoi ne pas permettre par exemple aux gens vaccinĂ©s de rentrer au pays.
Nous implorons les autorités algériennes d’intervenir et adopter une réelle ouverture, graduelle et logique des frontières.